Vindicta est un thriller bien gore avec une vengeance au centre de l’intrigue. Vous aimez ça ? Foncez !
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Mon avis sur Vindicta
J’ai été totalement happée par la plume de Cédric Sire. Impossible de lâcher ce roman ! Et pourtant, tout ne m’a pas plu.
En effet, je n’ai pas trop aimé le thème de la vengeance, de la Vindicta… ni celui de la guerre… Quant aux scènes d’extrême violence, très visuelles… je n’y ai pas trop adhéré non plus, même si le gore ne me dérange pas habituellement.
Cela reste un roman vraiment intéressant de par ses thématiques (si vous aimez), mais aussi de par ses personnages que j’ai trouvé bien nuancés et auxquels je me suis attaché malgré l’horreur de la situation.
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Mon trouillomètre pour Vindicta
😱 Trouillomètre – 4/5 Prépare le défibrillateur : les scènes gores associées à la forte tension de l’intrigue ont fait grimper le trouillomètre ! J’étais beaucoup en apnée ! Mais pour autant, j’ai pu aller au bout, et je n’ai pas fait de cauchemars… C’est quand même pas passé loin du 5/5 pour Vindicta !
Mon suspensomètre
😬 Suspensomètre : la construction du roman et la plume de Cédric Sire rendent ce livre inlâchable !
Le résumé de Vindicta
UN BRAQUAGE SOUS HAUTE TENSION
» On entre, on prend le fric, on ressort. Personne ne sera blessé. «
Leur plan est sans risque. Le bijoutier ne portera pas plainte pour le vol car son argent est d’origine illégale. Damien, Élie, Audrey et Driss s’imaginent avoir trouvé la réponse miracle à tous leurs problèmes.
UN FLIC EN CHUTE LIBRE
Fraîchement muté dans un groupe de surveillance, Olivier est loin d’imaginer que la planque qu’on lui a assignée fera de lui le témoin clé d’un cyclone meurtrier, dans le sillage d’un tueur glacial et méthodique que rien ne semble pouvoir arrêter. Des déserts du Moyen-Orient aux villes sombres et silencieuses du territoire français, quand la vindicte est en marche, plus rien ne peut vous sauver.
UNE TRAQUE HALETANTE SECOUÉE DE FAUSSES PISTES
Pur instrument de torture et de mort, il n’a pas de nom, pas de visage, l’habitude de tuer et un cimetière de cadavres derrière lui. Mais dans cette affaire, pas de contrat. Cette fois-ci
pour lui : c’est personnel.
