Genre : roman policier loufoque
Mots clés : humour noir, donuts au chocolat, New York Colorado
Résumé : Mutée disciplinairement à New York, Colorado, un petit village du fin fond de l’Amérique, raciste, sans couverture mobile et où il ne se passe jamais rien, la lieutenant de police de couleur noire, à forte corpulence, Agatha Crispies a trouvé une échappatoire à son désœuvrement dans l’animation d’un club de lecture au sein du commissariat. Mais alors qu’elle désespérait de pouvoir un jour enquêter à nouveau sur un meurtre autre que celui d’un écureuil, une série d’effroyables assassinats et disparitions viennent (enfin) troubler la tranquillité des lieux, mettant à l’épreuve ses connaissances littéraires.
Puértolas signe un drôle de thriller loufoque, un poilar !



J’ai aimé :
- Les nombreuses digressions littéraires qui sont en complet décalage du ton de l’intrigue principale ;
- La chute, mais je n’en dirai pas plus.
- Quelques situations complètement loufoques qui sont très drôles.
Je n’ai pas aimé :
- Certaines scènes un peu glauques ;
- L’héroïne : quelque chose m’a dérangée chez elle, peut-être un trop gros contraste dans sa personnalité, son manque de cohérence et de réalisme ;
- Langage parfois trop cru.
À savoir : le titre est trompeur, il s’agit bien d’une enquête policière et non pas de répondre à la question « comment survivre tout un été sans Facebook ? »
Autre roman de l’auteur qui m’avait plu : L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea.
Liens avec mes projets : en lien avec ma dernière idée de polar, j’ai voulu explorer des romans policiers plus modernes. Celui-ci m’aura permis de découvrir ce que je ne veux pas faire transparaître dans mes propres écrits : du glauque.
Lectrice nomade : j’ai pris ce roman dans une boîte à livre de Raon-L’Étape (Vosges) et l’ai déposé à Pau (Pyrénées-Atlantiques).
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Une réponse sur « Tout un été sans Facebook, de Romain Puértolas »
[…] De cet auteur, j’avais déjà lu Tout un été sans Facebook, qui m’avait moyennent convaincue… Voir la chronique en cliquant ici […]