Cette semaine, je vous parle de quelques une de mes lectures inspirantes du mois de septembre, celles qui m’accompagnent dans un nouveau projet de roman dont je vous parlerai bientôt.
Qu’est-ce qu’une bibliothèque mouvante ?
C’est une bibliothèque intégrée à mon fourgon aménagé qui ne mesure que 30 cm de large, par 30 cm de profond, par 15 cm de haut… et où je ne peux donc pas accumuler ! Ma solution en image :



Je l’ai dénichée grâce à ce site internet : www.boite-a-lire.com
Écrivaine égarée cherche Alpha-Lecteur…
Avant de continuer je tenais à vous dire : MERCI ! Merci à tous ceux qui sont devenus mes alpha-lecteurices pour l’aventure des Grands-Mères aux quatre coins de l’Univers. Si certains veulent encore rejoindre l’expérience, c’est possible et ça me fera super plaisir de partager ces moments importants avec vous ! Contactez-moi par mail ou en vous inscrivant ici. Il ne reste que 3 places !
Encore une première fois !
De mon côté, je tente aussi une nouvelle expérience. Je suis bêta-lectrice pour une jeune auteure qui souhaite publier son premier roman. Ça me permet de me mettre dans (presque) la même position que vous, alpha-lecteurs. Et c’est très intéressant ! Ça me permet aussi de prendre du recul sur mes propres écrits, ce qui est très bénéfique.
Des lectures qui se ressemblent mais qui n’ont rien à voir !
Le mystère de la chambre jaune, de Gaston Leroux (1907) : une énigme en chambre close résolue par un drôle de journaliste. J’ai aimé : la narration par l’ami du héros et les mystères super bien ficelés. Je n’ai pas aimé : le caractère trop mystérieux du héro, Joseph Rouletabille. À savoir : le style est un peu vieilli mais ça se lit bien malgré tout.


Résumé : La porte de la chambre fermée à clef « de l’intérieur », les volets de l’unique fenêtre fermés, eux aussi, « de l’intérieur », pas de cheminée… Qui a tenté de tuer Mlle Stangerson et, surtout, par où l’assassin a-t-il pu fuir de la chambre jaune ? C’est le jeune reporter Rouletabille, limier surdoué et raisonnant par « le bon bout de la raison, ce bon bout que l’on reconnaît à ce que rien ne peut le faire craquer », qui va trouver la solution de cet affolant problème, au terme d’une enquête fertile en aventures et en rebondissements.
Agatha Raisin enquête – La quiche fatale et Remède de cheval, de M.C. Beaton : des enquêtes menées par une jeune retraitée au caractère de cochon. J’ai aimé : le personnage d’Agatha Raisin qui se dévoile peu à peu, la vie de village anglais et le ton humoristique. Je n’ai pas aimé : l’entrée en matière ne m’a pas forcément accrochée, j’ai mis du temps à rentrer dans l’histoire mais le tome 2 (Remède de Cheval) est plus concluant. Je vous conseille de tenter l’expérience !


Résumé de La quiche fatale : Sur un coup de tête, Agatha Raisin décide de quitter Londres pour goûter aux délices d’une retraite anticipée dans un paisible village des Costwolds, où elle ne tarde pas à s’ennuyer ferme. Afficher ses talents de cordon-bleu au concours de cuisine de la paroisse devrait forcément la rendre populaire. Mais à la première bouchée de sa superbe quiche, l’arbitre de la compétition s’effondre et Agatha doit révéler l’amère vérité : elle a acheté la quiche fatale chez un traiteur.
Pour se disculper, une seule solution : mettre la main à la pâte et démasquer elle-même l’assassin.
Le rêve du mort, d’Agatha Christie : deux nouvelles (Le rêve et Le Retour d’Hercule Poirot) mettant en scène le fameux détective belge Hercule Poitot. J’ai aimé : Hecrule Poirot (ce n’est pas pour rien que j’y fais référence dans Le Crépuscule d’Aurore). Je n’ai pas aimé : la concision des enquêtes. C’était la première fois que je lisais des nouvelles d’Agatha Christie, et finalement je préfère les versions longues pour ses enquêtes.


Résumé : Peut-on être doux, calme, humble et assassiner son patron ? Oui, répond Hercule Poirot sans hésiter. Et lorsqu’on rêve tous les soirs qu’on meurt, finit-on par se donner la mort ? Certainement pas, rétorque Poirot. Ou alors c’est qu’un meurtrier rôde quelque part… Poirot écoute, observe et attend le moment propice pour démasquer le coupable…
Police vs. enquêteurs privés
Et vous, connaissez-vous ces romans et ces auteurs ? Le point commun entre eux, c’est qu’il s’agit d’enquêtes menées par des personnages qui ne sont pas policiers. Dans les romans policiers, vous préférez des enquêtes menées par des policiers ou par des détectives privées, quidam, journalistes… ?
Est-ce que ces lectures vous donnent une piste pour le projet dont je vous ai parlé au tout début de cet article ? Partagez-les en commentaires si c’est le cas !